Anniversaires de grands : les bonbons sont-ils un passage obligé ?

Images Si vous avez un grand qui est au moins en petite section de maternelle et qui est invité aux anniversaires des copains, vous comprendrez facilement de quoi je parle. Il se trouve que dans ces anniversaires, la coutume ou l’habitude veut que les bonbons soient à volonté, au point où les enfants s’en gavent dès qu’ils arrivent et n’ont plus faim ensuite pour le gâteau (tant mieux pour les parents 😉

De plus, selon la même coutume, les invités reçoivent, en partant, un petit sachet de bonbons (contenant souvent les mini boîtes de Smarties).

Après deux ans de fréquentation des anniversaires, je peux dire que ceux où les invités reçoivent autre chose que des bonbons (par exemple de petites babioles qui font toujours plaisir) ou, mieux encore (enfin, pire encore, selon les enfants), où les bonbons ne sont pas à volonté, sont très rares. Le problème est que cela créé des attentes chez les petits : une amie m’a raconté que les invités de sa fille avaient été très déçus en ne trouvant pas de bonbons à la fête.

Pourtant, il est facile de proposer autre chose, ne serait-ce qu’en cadeau de remerciement, lors du départ : par exemple de petits bracelets pas chers, de petites figurines qui, contrairement aux bonbons, dureront un peu plus longtemps et rappelleront à l’enfant cet anniversaire.

Personnellement je trouve que quelques bonbons de temps en temps ne font pas de mal (à condition de ne pas en avoir chez soi) mais en ce moment, de fête du tennis en fête d’école, de fête de quartier en fête d’anniversaire, il y en a un peu trop souvent… Puis, c’est bien de changer et de ne pas proposer toujours la même chose, non ?

(5 commentaires)

  1. Étant une toute jeune maman, mon loulou n’a pas encore l’age de participer aux fêtes d’anniversaire lol Cependant de par ma propre expérience, en effet, je pense que les bonbons sont trop imposés durant les fêtes des touts petits alors que comme vous l’indiquez très bien, il est tout a fait possible de remplacer ces derniers pas des produits plus sain, un joli fruit frais, ou alors quelques petites surprises pas chères ou confectionnées!!!
    Je dirais donc les bonbon Oui mais a consommer avec modération 🙂

  2. De ma propre expérience, les anniversaires de mes copains et copines de classe étaient mon seul espoir de manger des bonbons dans l’année.
    Et encore, ma maman me disait de ne pas trop en manger, dans les faits, je me gavais autant qu’il était possible sachant que l’occasion n’allait pas se représenter avant un moment…
    Ce n’est pas quelques malheureux bonbons qui vont rendre un enfant obèse, un fruit frais, je suis désolée, mais moi, ça ne m’attirait pas enfant, et je ne pense pas être un cas unique !
    Il faut arrêter 5 mintes d’être bien pensants, les enfants ont leur propre notion de « fête », et cela inclue souvent la notion de bonbons, alors laissez-les être des enfants !

  3. Ce qui m’embete c’est qu’ils ne comprennent pas pourquoi les jours de fete on peut se gaver et les autres jours c’est quasi interdit. a la maison on a quelques bonbons, c’est occasionnel qu’on en donne un au petit de 2 ans depuis qu’ila decouvert les sucettes il en est gaga. Je ne suis pas pour les sucreries, plutot maman bio, et le papa c’est pire que moi, interdiction de plus de 1 bonbon a chaque fois. Au final, je pense que c’est bien dde leur montrer que n’importe ou, trop de sucre c’est pas bon.

  4. En lisant vos commentaires, je pense justement aux petits qui accompagnent les grands aux anniversaires : quand je pense que ma fille avait presque 4 ans quand elle a découvert les smarties, alors que mon fils avait à peine 2 ans !!!

  5. Idem qu’Eliza. Pour la première, les bonbons, c’était exceptionnels (genre 2 fois par an !), elle a gouté pour la première fois du chocolat pour ses un an, et la quantité d’une demi-truffe.
    Le petit frère, lui, à du gouter le chocolat à 6 mois et à 1 an, il sait reconnaitre toute forme de sucrerie et nous fait des crises pour en avoir.
    La solution est quand même de ne pas en avoir à la maison afin que tout le monde sache que les sucreries sont à caractère exceptionnel et festif.

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