L’éducation des enfants ? Un travail de femme !!!

La tarvail parental Voilà ce que j’apprend au cours de mes lectures du matin…dans le journal Le Monde. Voir l’article en entier ici « Le travail parental reste une affaire de femme » ! Une grande enquête européenne sur les relations familiales, décriptée par deux chercheurs, a tenté de montrer si les « nouveaux pères » participaient vraiment à l’éducation des enfants et si l’activité professionnelle des femmes a rééquilibré les tâches au sein du foyer. Cette enquête permet d’évaluer la participation des parents aux différentes tâches familiales : l’habillage, les trajets des enfants le matin et le soir, les devoirs, le coucher, les loisirs, etc. Avant de connaître les résultats…  Pensez-vous vraiment que le travail parental est une affaire de femme ? Comment cela se passe-t-il chez vous ?

Alors en avant pour les constats, vous allez voir c’est très « sympa ».
Premièrement : 80 % des tâches domestiques (vaisselle, course, ménage) sont assurées par les femmes. « Les pères s’investissent beaucoup moins que les mères dans les tâches familiales ». Non, sans blagues ! « S’occuper des enfants reste une prérogative féminine, la division sexuelle (beurk) du travail parental se modifie lentement ».
Deuxièmement : Si dans plus de 60 % des familles intérrogées, le couple participe à égalité aux loisirs, l’habillage et les devoirs sont exclusivement des activités féminines !!!
Vous l’aurez compris, les mamans bossent, les papas jouent !
Cependant cette étude nous apprend aussi, que plus les papas sont jeunes, moins de 35 ans, plus ils participent aux tâches familiales. Ouf, mon jule à 29 ans, encore 6 ans de tranquilité… Et je confirme, le papa s’occupe des lessives, du repas, etc.. Et après on se partage les enfants pour les tâches du matin, on a chacun le sien. Comme ça pas de jaloux !
Autre point de cette étude, sachez que le comportement des papas varient en fonction de l’âge des enfants. Et les pères privilégient nettement les garçons. Par exemple, ils s’occupent plus de l’habillage de leurs fils que de leurs filles, idem pour les loisirs. Pour l’instant j’ai encore tout bon, car nous avons deux garçons à la maison…. Et vous, vous reconnaissez-vous dans ces constats ?

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(4 commentaires)

  1. mon homme a 35 ans ! je comprends mieux alors pourquoi après ma journée de boulot, j’ai une deuxième journée le soir, entre mon fils, le linge, le repassage. Et encore, je ne me plains pas, il fait la cuisine !!!!
    Par contre, vu que nous avons 1 garçon, j’ai bon espoir qu’en grandissant, il s’en occupe un peu plus. A voir
    En tous cas, cette étude, ça nous représente bien !

  2. Voila des vérités qui sont à claironner aux oreilles de certaines associations de père revendicatrice du 50/50 en matière de garde d’enfant, en cas de séparation parentale, au titre de l’égalité parentale.
    AUCUNE égalité parentale dans la part de soins consacrée aux enfants, et malgré tout un discours de « nouveaux » pères, qui a permis au législateur de croire à ces sirènes de « l’injustice anti-pères » des JAF taxés de sexistes quand ils valident les gardes aux mères….alors que 30% des pères ne les demandent même pas !!!
    Maintenant ces pères regroupés en assos (qui ne représentent pas la majorité des demandes des pères) demandent à ce que TOUS les enfants soient « coupés en deux » entre deux foyers, (voir 4, entre les grds parents et les nouvelles compagnes), ils demandent au législateur de les transformer d’office en VRP de la garde alternée. Ils demandent que même les BB ne soient pas maintenus auprès des mères en cas de séparation. Leur portes-voix, souvent des sociologues qui n’ont aucune espèce d’expérience en pédo-psychiatrie, recommandent de « juguler » les pathologies qui s’installent après avoir corrompu le lien d’attachement premier (à la mère de fait) des petits, de leur installer…le même couffin. La disparition de la mère récurrente une semaine sur deux, et UN MOIS pour les grande vacances, sera ainsi « compensée » d’après eux. Véridique!
    Quel DENI du maternage, quel déni des soins que les mères portent à leurs enfants et de leur présence incontournable dans la petite enfance. Quel déni des sacrifices qu’elle font en terme de carrière, de leur abnégation pour le bien de leurs enfants. Traitées de mères fusionnelles, castratrices, elles sont traînées dans les tribunaux par des pères qui (pour certains) n’ont que très peu à l’éducation et aux soins des enfants, comme le démontre clairement cette étude, mais aussi bon nombre d’autres. Ils se transforment devant les juges en « papa poule attentionnés » ces derniers attendris valident la complainte des pères dépossédés… et leur donne le temps de garde égalitaire qu’ils demandent. Résultat, ils ne s’en occupent toujours pas plus après les avoir « gagnés » en procédure, les nouvelles copines ou les grands même remplacent les mères éjectées. Au vu du nombre de personnes qui revendiquent des droits sur l’enfant et des constantes délocalisation d’enfants au nom des droits A l’enfant sans avoir rien imposer en terme de devoirs (60 % des pensions alimentaires POUR les enfants ne sont pas versés par les « super papas ») la société s’apprête à encaisser ces délires sociétaux, le malaise, la violence et les pathologies qui vont avec. La belle réussite des groupes de pression en France.

  3. Oui beau massacre aprés l’investissement de toute une vie pour les femmes , les méres lorsque ces nouveaux péres obtiennent la garde totale des enfants.
    Aprés avoir été bichonné par madame, aprés avoir épargné sur le dos de madame, aprés avoir pauffiné leur belle carriére pofessionnelle au detriment de celle de madame.
    Voilà qu’un jour c’est la séparation et cette maman se retrouve sans diplome, sans logement, sans argent, sans travail, et le pire :sans ses enfants.
    Voilà le nouvel esclavage , celui des mamans, celles que l’on pille et que l’on prive aprés ue vie entiére de sacrifice au service de sa famille.
    Cautionnée par une justice pro-pére, sous préssion d’association ,voilà les méres et les enfants balayés , pillés , séparés et tout cela délibéremment.
    STOP au dénie de ce qu’apporte une maman à ses propres enfants, STOP les méres ne sont pas les méres porteuses et les bobones de ces nouveaux messieurs!

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