Tout l’univers des couches lavables dans un guide.
Vous y retrouverez un bilan écologique des couches lavables et des couches jetables, un comparatif détaillé des budgets, un point sur les couches jetables dites écolos, les descriptions des différents modèles existant sur le marché, des fiches techniques des différents tissus, des conseils d’entretiens, de nombreux pas à pas d’installation de plusieurs sortes de langes, ainsi que des pas à pas de couture.
En somme, vous y retrouvez tous ce qu’il faut savoir sur les couches lavable, mais aussi la question des lavables dans les collectivité, des services de nettoyage, un annuaire des boutiques vendant des lavables et des mamans couseuses…
Le format de ce guide n’a rien à voir avec les revues habituelles de « Grandir autrement ». 300 pages à 12,50 euros.
Le petit truc qui fait qu’on a envie de se l’offrir en plus du sommaire : 50 centimes par livre vendu seront utilisés pour permettre à des familles aux revenus modestes de tester les lavables gratuitement pendant un mois.Rappel sur les couches lavables : C’est écologique, économique, pratique et esthétique.
En vente sur Grandir autrement et chez ses distributeurs !
Photos 1 : Propriété de Rachel H.
Sous des pseudos idées ecolos ont nous fait faire desacrés bons en arriere… Est ce un souci d’ecologie qui va ammener les parents vers les couches lavables ou alors un pouvoir d’achat qui ne cesse de diminuer???
Il est interessant de se poser la question car je trouve quand meme que la reponse n’a pas les memes consequences dans nos habitudes quand meme…
Vive l’ecologie qui nous permet de cacher et de ne pas parler de la baisse du pouvoir d’achat des menages… Merci monsieur Boorlo et son grenelle de l’environnement… la pillule semble moins amere quand on lit tous les articles…
Bonjour Stef,
Adepte des lavables depuis plus de 3 ans, je ne peux décemment pas vous laisser dire ça.
Les couches lavables ne sont pas un bond en arrière : c’est le tout-jetable (couches, lingettes), bourrés de produits chimiques qui sont , sous couvert de liberté de la femme, un véritable mensonge.
Nous ne lavons plus notre linge à la batte au lavoir, les couches lavables se vident dans la machine à laver, et nous appuyons sur un bouton. Où est le retour en arrière ?
Et en plus, en effet, notre pouvoir d’achat est (un peu) préservé puisque nous évitons le consumérisme du jetable.
Et en plus, bis, nous préservons la planète. Où est le progrès quand une couche mets plus de 400 ans à se dégrader ? où est le progrès quand on tartine les fesses des bébés avec des lingettes bourrées de produits chimiques comme le Paraben entres autres ?
Nous n’avons visiblement pas la même vision de l’écologie.
La seule idée que nous partageons est qu’en effet Mr Borloo (qui vient de faire adopter une loi visant à autoriser le plantage d’OGM partout en France) est loin d’être le porte parole idéal pour défendre les vraies idées écologistes.
Bonne journée
Steph,
On a évolué depuis nos grand mére, on a des machine a laver. oui c’est terrible comme évolution. on fait 2 machine par semaine de couche, on les met sur un séchoir. on fait rien. on les prend quand elle sont seche. wahou, c’est de l’esclavage.
le probleme de votre discourt stef, c’est que vous enfermer les usager du lavable dans une demarche pseudo ecolo.
c’est stigmatisant. Personne ne vous dis « au lavable stef ». Avez vous pensez que c’est une solution aussi pour les faible revenu? avec les langes a noué que j’utilise, j’ai en gros investi 300€ de lange jusqu’a la propreté, contre 2000€ en jettable. franchement, c’est de l’ostrassime
Bonjour Anne,
le problème est que, lorsqu’on travaille, même les vêtements « basiques » n’ont pas le temps de passer à la machine (bref, je vous passe les détails sur la corbeille à linge).
Par ailleurs, lavables rime souvent avec congé parental pour la maman ; les nounous et les crèches sont au « jetable » – certes, il y en a peut être qui prennent des lavables mais il y a combien de places ? On a déjà assez de mal à avoir des places dans des structures classiques 🙂
On tord le cou aux idées reçues et on ne culpabilise pas de ne pas utiliser des lavables.
Les lavables, c’est un vrai choix, éthique et/ou écologique.
Je ne suis pas en congès parental, je travaille si je peux le dire comme ça, pratiquement à plein temps (association + job vraiment rémunéré et en dehors de la maison)
Et je mixe entre entre couches lavables et couches jetables.
Mon crédo, ne pas me mettre la pression.
Si je viens à ne plus travailler pour m’occuper de mes loupiots, je réfléchirais à passer exclusivement aux lavables. En attendant je compose mais je ne m’en prive pas.
Apparté : ma fille l’autre jour va devant le miroir après que je lui mette une couche (sweet lili classic, pour les connaissances, elles sont vraiment très très jolie)
Elle se déhanche et s’admire. Un vrai spectacle de coquetterie.
Je ne l’ai jamais vu se regarder comme avec une jetable 😉
Rachel, c’est parce que tu ne lui prends pas des jetables de chez Carrouf, il y a un faux string dessiné sur le derrière (si si promis, incrédible !)
Coucou,
si c’est le coté lavage qui pose soucis, dans pas mal de coin, il y a des assoc’ qui lave « pour vous ».
Je ne dis pas « aller au lavable ». mais c’est comme tout. ne stigmatisé pas les choix. que ce soit jetable ou lavable.
Je suis une partisante du lavable. et pour la quesiton des creches, les TE1 sont bien recut 😉
ici, c’est le papa qui lave les couches. il met dans la machine, et sur le séchoir.
Maintenant, chacun ses choix. mais dire « on nous culpabilise » quand on parle du lavable. non! c’est pas ca. on peut aussi en parler! 🙂
Exactement Anne, comme quand on parle de l’allaitement. Ce n’est pas parce qu’on donne les bénéfices qu’on est anti-biberon.
J’utilise du mixte, comme on dit, lavables et jetables. Je ne jette pas la pierre (Pierre 😉 ) mais le côté « rébarbatif, pénible, arriéré » je l’avoue ca me gonfle un peu.
Comme dit mon mari « faut arrêter avec la femme qui lave, c’est la machine qui lave » 😉
Oui mais c’est souvent la femme qui appuit sur le bouton !
N’est ce pas chéri (parlant à son homme) ?!?! 😉
Je viens de tout lire et voici mon portrait: je suis parisienne (donc je vis en appartement, petit de surcroit), j’ai trois enfants (5mois, 5ans, 15ans), un mari et j’utilise à 100% les couches lavables. Pourtant, je travaille à plein temps (et même très gros horaires): alors ? Bah il faut: 1 petit seau fermé (poubelle ikea) pour stocker les couches sale, 1 machine à laver qui essore bien, 1 sèche linge, 1 petit étendoir pour les inserts en bambous, 1 mari qui veut mettre en route la machine et étendre (si, si) quand je ne peux pas, 3 couches TE1 avec effet fesses au sec (donc polaire) pour la journée (pour ma nounou) et le reste ce que je veux! Autant pour mes premiers, je n’étais pas fana de changer une couche, autant là je veux à chaque fois changer la couche!
J’ai un fils de 14 mois en lavables depuis sa naissance, j’ai en gros investi 400€ et je n’en dépenserai pas plus jusqu’à sa propreté. Je travaille à plein temps et mon mari aussi. Mon fils va chez une nounou qui s’est vite habituée aux lavables, l’important c’est d’en parler avant, de montrer que ce n’est pas plus compliqué, qu’au lieu de mettre une jetable à la poubelle, elle met la lavable dans un sac que je récupère le soir. Régulièrement je lui demande si l’utilisation se passe bien, si elle trouve qu’il y a des fuites, etc. Pas de souci de ce côté-là. La plupart des personnes sont ouvertes et veulent bien essayer. C’est le premier pas. Pour la crèche je vais voir car il ira dans quelques mois. Mais les pédiatres s’y intéressent de plus en plus alors je ne vois pas pourquoi la crèche n’essaierait pas elle aussi. Il faut être positif.
Question organisation à la maison, je lance la machine au moment du bain de mon fils quand je fais couler l’eau ou quand je viens juste de finir de l’habiller. C’est rapide. Je mélange les couches avec le linge de la famille y compris les chemises blanches de mon homme et çà ne présente aucun souci. J’utlise également beaucoup la programmation en différé sèche-linge ou machine pour que çà tourne la nuit. C’est vraiment simple. Pas de poubelles à vider tous les jours ou d’odeur chimique. Si la couche de nuit sent un peu trop fort l’urine, je met quelques gouttes d’huile essentielle sur une lingette humide (lingette que j’ai découpé dans dutissu polaire pour éviter d’utiliser du coton, je les lave aussi, en plus çà accroche le caca au lieu de l’étaler sur les fesses de bébé… )
Soyez bien conseillés et foncez!
Isabelle, Amandine : MERCI ! :-)))
On a toujours besoin d’un bon guide sous la main avant de se lancer dans l’aventure, les bons conseils d’une pro de la couche ca vaut toutes les infos des blogs!