La définition de la doula, selon la Wikipédia est : « femme qui accompagne, soutient, informe le couple, la femme au moment d’une naissance ». A la différence d’une amie ou d’une sœur, elle n’est pas impliquée affectivement, à la différence d’une sage-femme, elle ne pratique aucun geste médical.
Le site Doulas.info propose de nombreuses études internationales sur l’intérêt de recourir à une doula. En résumé, l’accouchement est facilité, 50% de césariennes en moins, une diminution du temps de travail et de l’utilisation des forceps. Bref, une médicalisation moindre et moins de stress pour tout le monde !
Aux Etats-Unis, le recours à une doula est possible depuis plus de 20 ans et environ 5% des mères le font. Le site Babble.com relève que de nombreux experts s’accordent sur les bénéfices des doulas sur la période d’après la naissance.
Le post-partum serait moins intense et moins long, l’allaitement serait facilité, etc… Je crois qu’il ne peut qu’être rassurant d’avoir ce soutien impartial lorsqu’on rentre de la maternité avec ce petit être si fragile dont on va devoir découvrir les réactions et les sensibilités. Même si ce n’est pas notre premier enfant, chaque naissance apporte son lot de questions et d’inquiétude.
Lire le site Doulas.info, il est vraiment riche en informations.
Illustration : Maternité – Petrov Vodkin – Wikimedia
Sage-femme : un métier attachant
Le métier de sage-femme est trop souvent vu comme réduit à un rôle joué lors de l’accouchement. Or, la sage-femme a des attributions bien plus étendues dans la durée et les compétences. Pour simplifier, j’utiliserais le féminin tout au long
Le forceps, un recours bien maîtrisé aujourd’hui
Dans les récits terrifiants d’accouchement, que vous aurez peut-être le malheur de devoir écouter, le forceps tient souvent un rôle bien noir. Il a marqué des générations et est souvent mal accueilli par les mamans en travail. Pourtant, l’utilisation d…