Un nouveau-né a été sauvé de justesse dimanche après-midi. Ce petit bout a été retrouvé au fond d’un jardin familial, entièrement dénudé. C’est une jeune mère de 21 ans, dont la grossesse a été entièrement cachée à la famille, qui est à l’origine de cet acte. Elle aurait accouché en secret dans son jardin, toute seule, et aurait ensuite abandonnée son fils, le laissant seul dans le froid sans lui laisser la moindre chance. Heureusement le pauvre petit nourisson a été retrouvé en pleur grâce à un des membres de la famille qui a aperçu des traces de sang suspectes. Je sais il ne faut pas juger, mais là quand même ! Il existe d’autres solutions. Si elle ne voulait de cet enfant, elle aurait quand même pu lui laisser une chance de ne pas mourir, et le déposer par exemple devant un hôpital ou une église. Vous ne pensez pas ?
Surtout que cet acte est loin d’être isolé. Des nourrissons « indésirables », ils en existent beaucoup, et certains n’ont pas la chance de celui-ci. Je ne jette pas la pierre à ces pauvres femmes, je ne dirais pas mamans car pour moi elles ne le sont pas, qui doivent se trouver dans une grande détresse pour commettre l’irréparable. Mais de nos jours, en 2009, savoir qu’il existe encore des faits divers de ce genre ça me fait mal au coeur.
si on est face a un deni de grossesse, toute l’indignation du monde ne changera rien.
c’est un peu comme demander a une personne en parfaite santé de comprendre que l’anorexique est incapable avec toute la volonté du monde de manger.
on ne peux pas comprendre. pour ces femmes, le bébé n’existe pas. il n’est pas question pour elle de laisser ou non une chance, il n’existe pas. je ne dis pas qu’on peu comprendre mais c’est leur réalité. c’est une réaction pathologique.
c’est indignant mais comme ca.
la compassion, sans la piétié, ni l’acceptation de l’acte est une piste interressante. ne pas accepter l’inacceptable mais toute fois, ne pas enfoncer, ca ne sert a rien, et n’a aucun effet positif.
il faut du temps et une aide adéquat…. pour qu’il prenne naissance dans leur réalité, cet enfant… ces enfants.