Je vous parlais récemment de la journée française sur l’allergie, qui se déroule aujour’dhui. Les spécialistes révèlent un chiffre troublant : le nombre d’enfants allergiques à au moins un aliment a doublé en cinq ans ! Pour expliquer ce chiffre, l’association Asthme et allergies met en avant l’allaitement maternel moins systématique qu’avant, la diversification alimentaire trop précoce du nourisson et un excès d’hygiène. Des explications controversées par certains scientifiques. Les soupçons se porteraient également sur l’augmentation des aliments allergènes : curry, paprika, kiwi, litchis, graines de sésame et l’augmentation de la consommation des plats préparés qui contiennent des allergènes que l’on ne voit pas forcément : colorants, épaississants, conservateurs, etc. Et vous, vos enfants craignent-ils certains aliments ?
Les aliments les plus allergènes chez l’enfant sont principalement : le lait de vache, le blanc d’oeuf (que l’on recommande de ne pas introduire avant au moins l’âge de 8 mois), le poisson (je ne savais pas ! ) et les fruits à coque. Sachez que l’on peut devenir allergique à n’importe quel âge. Ce n’est pas parce que votre enfant n’est pas allergique aujourd’hui, aux fraises par exemple, qu’il ne peut pas l’être plus tard. Généralement les allergies interviennent dans les six premiers mois de la vie. La seule solution pour éviter la réaction allergique est de banir l’aliment en question. Très difficile quand vous avez un enfant qui est allergique au lait de vache ou au gluten. Ce sont des aliments que l’on trouve un peu partout. Il faut donc s’armer de patiente. Il existe des livres de recettes pour les allergiques pour donner plein d’idées aux
mamans…Pour ma part mes enfants ne sont pas pour l’instant allergiques. Nous avons introduit progressivement les aliments lors de la diversification du plus petit, sans se presser. Je connais des mamans dont leur enfant craigne certains aliments et je sais que ce n’est pas facile tous les jours. Nous sommes en tout cas de tout coeur avec elle.
Source : Le Parisien
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J’y réfléchissait aussi sur cette augmentation des enfants allergiques… Je ne pense pas que l’allaitement en perte de vitesse soit bien responsable car ça devrait plutôt être nous (les trentenaires des années 2000) qui devrions en souffrir puisque nos mères ont été les premières à passer pour des rétrogrades quand elles nous allaitaient.
J’aimerai bien mettre en cause plutôt les pollutions de l’air (que ce soit des intérieurs ou de la ville ou des déreglement de la flore (monocultures), car c’est avant tout en ville qu’il y avait plus d’allergiques au début… Et pis aussi parce que, comme tu le dis, on peut maintenant devenir allergique « en cours de route » alors que rien ne prédisposait à la devenir.
M’enfin, c’que j’en sais moi et ma formation non-médicale, hein !
Pour l’instant je touche du bois, le peu d’allergènes auxquels on est sensible ne provoque que de légères démengaisons des yeux et c’est tout !