Voilà des résultats porteurs d’espoir pour les parents inquiets par les risques d’accouchement prématuré (j’en fais moi-même partie !). Une étude a mis en évidence le fait que les futures mamans qui accouchent prématurément (avant 34 semaines de grossesse) ont un niveau plus bas de progestérone dans leur salive que les autres femmes enceintes, et dès la 24ème semaine de grossesse.
Ces résultats suggèrent la possibilité de créer un test très simple d’anlayse du niveau de progestérone dans la salive, afin d’identifier les femmes qui pourraient accoucher prématurément.
Le progestérone est l’hormone principale de la grossesse