Je vous disais récemment que le doudou n’est pas un passage obligé et que, pour le bien de bébé et le nôtre, le mieux est que bébé ne dévienne pas accro à cette peluche ou bout de tissu qu’il trouve unique.
Dans mon entourage, plusieurs amies m’ont parlé de leurs astuces pour éviter ce que j’appelle l’addiction au doudou : changer régulièrement les peluches auxquelles l’enfant peut s’attacher, surtout lorsqu’il commence à avoir des préférences. De cette manière, il n’exclut pas les autres peluches en faveur d’une seule, l’unique, mais choisit facilement dans le stock de jouets celui avec lequel il dormira.
Par conséquent, il n’y a pas de drame si le doudou est égaré, perdu ou oublié : toute autre peluche peut bien faire l’affaire.
Je compte bien appliquer ce conseil pour mon petit 3ème et vous tiendrai au courant…
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Très juste! L’addiction au doudou est souvent provoquée par les parents qui reportent une forme de stress sur l’enfant, à force de lui poser la question « lequel c’est ton doudou? » ou « n’oublie pas ton doudou » ou « as-tu pensé à emporter ton doudou »… Si les parents se mettent d’accord pour ne pas favoriser cet attachement exagéré à une peluche, l’enfant n’en sera que plus fort pour affronter la perte ou l’oubli… d’un simple morceau de tissu !
Mes enfants n’ont jamais eu de doudou, tout au plus une peluche préférée, mais sans plus. Leur doudou, c’était moi…
Pas de doudou ici non plus, et je suis d’accord avec le com’ précédent, le doudou, c’est surtout celui des parents !
Je ne suis pas contre l’idée de varier les doudous, en revanche je suis d’un avis plutôt opposé à celui prônant le « non-doudou ». Je vois le doudou comme objet transitionnel, ce n’est absolument pas pour me faire plaisir que je donne un doudou à ma fille, même si nous l’avons effectivement choisi pour elle.
Il a été prouvé que l’objet de transition jouait un rôle clé contre l’angoisse de l’enfant: il le réconforte et le rassure.
Je suis d’accord avec vous, papa ! je ne suis pas « contre » les doudous mais contre l’addiction à un seul doudou.
Il n’est pas nécessaire d’avoir un doudou jouet pour être dépendant… Un coin d’oreiller, un vulgaire bout de tissus font parfois office d’objet transitionnel, tant qu’à faire pourquoi ne pas en choisir un présentable?
Je pense qu’il faut laisser à l’enfant la liberté d’avoir ou non un doudou et que les parents fassent un effort pour ne pas influencer l’intimité de l’enfant. Mais je pense que changer la peluche lorsque l’enfant commence a s’y attacher, c’est déja décider a sa place. perdre son doudou c’est apprendre a se séparer, le drame c’est pas l’enfant qui le vit mais les parents qui projettent leurs propres angoisses. laisser les vivre avec ou sans doudou et si ca vous pose probleme imaginez qu’on vous enleve votre vetement prefere ou votre tv ou votre dessert adoré ou encore votre hobbie, votre plaisir personnel….sous pretexte que vous etes accro. le doudou s’est l’intimié de votre enfant qui l’aide a se séparer de vous et lui procure bien des plaisirs. si vous le privez de ca il trouvera de toute facon une autre compensation et pas toujours saine…quand vous avez un coup de blues ou de fatigue ou de stress, n’y a t-il pas un doudou quelques part que vous vous empressez d’aller chercher?????