Une étude conjointe menée par des chercheurs de Strasbourg et de Montréal vient d’identifier un gène (Lrh 1) dont l’absence serait responsable de la stérilité féminine. Reste à trouver un moyen pour activer ce gène pour rendre fertiles les femmes concernées. Par ailleurs, cette découverte permettrait de concevoir de nouveaux contraceptifs.
Concernant la stérilité masculine, les causes semblent mieux identifiés.