Même votre porte-monnaie aime les couches lavables

Langes_recyc_1 Eglantine Lavergne vous parlait des couches lavables ici même dans ce billet : Le boom des couches lavables.

Sachant que, de sa naissance à l’acquisation de la propreté, un bébé « consomme » une tonne de couches jetables ; que ces couches sont très longues à se dégrader et polluent lourdement ; et, enfin, que l’on ignore l’impact à long terme sur la santé des bébés, des produits chimiques utilisés pour confectionner et blanchir ces couches, la couche lavable devient terriblement séduisante !

Les 2 principales objections sont le coût et le lavage. Pour le coût, il est vrai qu’il faut acheter dès le départ un bon stock de couches lavables (une vingtaine environ) alors que pour les couches jetables, on ré-approvisionne au fur et à mesure. Mais si on regarde les additions, la balance penche nettement en faveur de l’écologie : de 150 à 500 euros maximum pour les couches lavables, de 800 à 1200 euros pour les couches jetables (avec une propreté à 2 ans, ce qui n’est pas toujours le cas). Et n’oublions pas que les couches de l’aîné serviront aux petits frères et petites soeurs. Plus on a d’enfants, plus on fait d’économies ! Ce qui est bien sûr totalement inenvisageable avec des couches jetables.

Pour le lavage, les témoignages des parents utilisateurs se rejoignent tous : on jette les excréments dans les toilettes puis on fait une lessive normale, c’est tout simple ! S’il faut attendre un peu entre les lessives, on peut éviter la formation d’odeurs désagréables en ajoutant quelques gouttes d’huiles essentielles. Si on utilise une lessive bio ou des noix de lavage, le respect de l’environnement est maximal !

Pour en savoir plus :
Lire la thèse d’Anne-Sophie OURTH
Acheter des couches lavables :

(2 commentaires)

  1. Tendance nature chez Primashop

    Alors que les vacances sont finies, pardon de vous rappeler cette dure vérité, qu’on a retrouvé la ville et sa grisaille, il nous arrive de regretter le grand air dont on a profité cet été. Certes, le temps n’a pas

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