Et si on se mettait au bio ?

L’avenir de la planète est plus que jamais un sujet d’actualité qu’il faut prendre au sérieux pour le bien-être de nos petits anges. Certains d’entre vous auront peut être regardé l’émission de Jean-Luc Delarue consacré au sujet mardi 11 juin dernier dont le but était principalement d’informer et d’alerter sur les conséquences irréversibles de notre mode de vie sur l’environnement. Le message est clair : si nous continuons avec nos habitudes de vie actuelles (activités et rejets polluants), d’ici seulement 20 ans nous devront faire face à de nombreuses catastrophes climatiques et sanitaires liées aux émissions de gaz à effet de serre. Le premier type de catastrophes ayant un impact direct sur la nature (disparition des glaciers qui représentent 70% des réserves en eau potable, canicules, innondations, etc.) tandis que le second touchera directement l’homme (pandémies, cancers, problèmes respiratoires, etc.).
Pourtant, contribuer à la protection de l’environnement n’est pas vraiment difficile et passe par des gestes tous simples. Prendre ses cabats pour aller faire ses courses ou choisir les enseignes engagées (franprix propose en partenariat avec www.epi-global.com des sacs en plastiques biodégradables au prix symbolique de 0,02 euros). Recharger son flacon de savon Pouss-Mouss, éteindre les lumières et mises en veille inutiles, trier ses déchets, déposer les piles usagées dans les containers appropriés, utiliser les transports en commun le plus souvent possible et militer pour que les mairies investissent dans les bus électriques. Préférer les énergies renouvelables ou solaires, et de nombreux autres gestes à découvrir sur le site www.agirpourlenvironnement.org.

Pour moi, les industriels doivent être les premiers à donner l’exemple, mais malheureusement la recherche des gains et de la productivité sont toujours leurs principales préocupations et le concept du développement durable n’est pas suffisamment pris en compte.
L’agriculture compte parmi les grands utilisateurs de ressources foncières et hydrologiques, ce qui a des incidences notables sur l’environnement, notamment l’agriculture intensive qui utilise des traitements répétitifs d’insecticides et de pesticides polluant à outrance l’air, le sol, les nappes phréatiques et les rivières. Cela a pour incidence l’anéantissement complet de l’équilibre naturel pour de nombreuses années mais également la détérioration qualitative des aliments produits.
Bref, les fruits, les légumes, les laitages, les viandes et même les poissons que nous consommons et que nous faisons découvrir et manger à nos petits anges sont « empoisonnés ». Evidemment, la part de toxiques contenus dans chacun d’eux est moindre mais nous ne connaissons pas encore à long terme les maladies qui en résulteront. Une étude de l’INRA (source : Sylvie Simon, Biocontact N°130) indique qu’un français moyen ingère près d’1,5 kg de composés indésirables (additifs, pesticides et autres) par an. Sans oublier les conséquences pour l’environnement.
En tant que jeune maman, je me soucis maintenant encore plus de tous ces problèmes et je me sens très concernée par l’avenir du monde dans lequel mon enfant grandira. Mon choix des produits pour la préparation des repas s’est naturellement tourné vers les produits bio, que ce soit des produits pour bébés ou des aliments frais, et je vous recommande les magasins Naturalia pour la qualité et la diversité de leurs produits. Mais également pour les vêtements comme par exemple les sous-vêtements fabriqués avec des cotons issus à 100% de l’agriculture biologique comme le propose la marque, innovante et française, Peau-Etique. Bien entendu, tous les produits bio sont plus chers mais je pense que la santé de mon enfant et son avenir n’ont pas de prix. Et vous que pensez-vous des produits bio ? Quant au Défi pour la Terre : quels sont vos actes ? Faites-nous part de tous vos commentaires et de vos idées qui sont plus que précieux sur le sujet…